l’humaniste et poète, etienne de la boétie disait : « j’aime ce qui me nourrit, le boire, le manger, les livres ». nombre d’écrivains ont adopté ce point de vue, car littérature et gastronomie sont souvent indissociables. on dévore des livres, il arrive même que l’on soit saisi d’une boulimie de lecture. enfin, ne dit-on pas d’un roman qu’il peut être indigeste ?
« je crois que la nourriture a une grande action sur la production littéraire » faisait remarquer edmond de goncourt dans son journal. c’est ainsi que des grands restaurants associèrent leur nom à des auteurs chefs qui élaboraient des plats en leur honneur. cet ouvrage est une invitation à découvrir les rapports qu’entretiennent certains de ces écrivains comme balzac et dumas avec les nourritures du corps et de l’esprit, leurs recettes préférées.

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